Démarrer une entreprise à partir de zéro (simplifié)

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Cette option nous permettra d'explorer la possibilité de lancer une entreprise à partir de zéro.

Dans un souci de simplification et aussi pour s'adapter à ce cas, les cinq seuls paramètres ajoutés sont la marge par produit vendu, le niveau et le profil des ventes attendues, l'option rester salarié qui permet de simuler l'option précécente et l'année d'augmentation de son salaire.

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                          Description de l'option

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Pour décrire plus précisément le cas, le requérant travaille dans une entreprise qui vend en gros des biens d'équipement et des consommables matures avec des prix et des marges stables, qui a 45 ans et qui travaille dans le secteur commercial. Il n'y a pas de frais de structure prévus. En effet, il est évident que la meilleure solution pour le démarrage et probablement après, est de sous-traiter toute l’intendance, ce qui peut inclure le transport des fournisseurs, la prise de commande, le stockage éventuel et les livraisons aux clients. Donc dans le profit par produit vendu sont déduits de la marge, un pourcentage de frais de structures qui sont tous les frais de l'entreprise à part les coûts d'achat au fournisseur. 

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Cela réduira la marge par produit vendu, tenant compte du coût des services des sous-traitants, mais libérera le nouveau venu de nombreux soucis, lui permettant de se concentrer sur la prospection des clients, qui est son travail essentiel. De plus, le prix de revient de chaque vente étant défini, la marge de chaque vente sera également définie, ce qui permettra une meilleure définition de la politique commerciale. Cela permettra également d'éviter des coûts de structure fixes élevés avec un faible volume de ventes au démarrage.

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                           Analyse des résultats.

 

Il faut rappeler que l'objectif minimum du salarié est de doubler son salaire après une période maximale de 4 ans. Le modèle ne vise pas à prédire l'avenir, qui est rarement comme nous le voulons, le craignons ou le pensons, généralement différent, mais à choisir aujourd'hui entre différents choix possibles ou à aider à en trouver de nouveaux. Il est évident que l'atteinte ou non des objectifs dépendra de la situation de départ, c'est-à-dire : la marge ou le bénéfice par produit vendu (y compris les activités sous-traitées), la trésorerie de départ et bien sûr le niveau minimum de ventes que le salarié, pour l'instant, est sûr d'atteindre dans l’avenir.

 

En ce qui concerne le profit par produit vendu, il est laissé stable pour le moment car avec le temps certains facteurs l'augmenteront et d'autres le diminueront : L'augmentation des ventes améliorera le prix d'achat du fournisseur du produit et réduira le coût des fournisseurs locaux d’intendance. En revanche, en voulant développer les ventes, il devra s'attaquer aux clients aux marges plus faibles et de plus les prix de vente risquent de baisser avec le temps. Il est donc difficile de parier sur des marges qui augmentent au fil du temps. Autant les laisser fixes, ce qui est déjà optimiste soit 17 par produit vendu. 

 

On peut aussi dire qu'au début, il aura des prix moins attractifs de la part de son fournisseur et la sous-traitance par produit peut coûter plus cher, mais d'autre part, au début, connaissant le marché, l'employé actuel trouvera des clients avec des marges plus élevées. Nous allons donner deux exemples, le premier avec des résultats correspondant aux ventes minimales espérées et le second aux espérances de vente moyennes.

 

Les prévisions dépendent principalement des ventes prévues sur les 10 ans de notre horizon. Le candidat ne peut pas bien sûr prédire les ventes à venir mais peut estimer les ventes minimums dans le pire scénario possible et celles maximums dans le cas du meilleur scénario possible. On estimera que les ventes moyennes possibles sont la moyenne des scénarios minimum et maximum. 

 

On a ci-dessous les graphiques et les tables de ces ventes minimums, moyennes et maximums.